Jane  a vingt-trois ans.  Un jour une vilaine petite plaie au pied l'inquiète.  Elle découvre que c'est le début d'un cancer.  Pour elle, pour son père, sa mère, son frère commencent des semaine de calvaire.

Opérations, traitements, remissions, espoir  et désespoir, les uns et les autres se jouent la comédie de la guérison possible de mal vaincu.

Mais en quelques mois, terrible, l'horreur se précise.  Jane sait qu'elle va mourir et elle se révolte.  A vingt-trois ans, on ne fait qu'entamer l'été de la vie.  Pour ses parents, un enfant, quel que soit son âge, demeure toujours la chair de la chair d'un père et d'une mère, chaque jour est une nouvelle pierre qui écrase le coeur: comment accepter de voir souffrir un être aimé et rester impuissant?

Avant de mourir, Jane trouvera la paix et essaiera de la faire partager par ses proches.  Avec une force d'âme peu commune, elle demandera a ses parents de témoigner qu'il existe, par-dela l'absence, une leçon d'espoir, une leçon d'amour au delà de l'amour.

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Que notre joie demeure Rosemary Victor Zorga

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Balises: fait vécus