Oeuvre ultime brutalement interrompue par la mort de Rousseau, les rêveries du promeneur solitaire sont à la fois empreintes d'un mysticisme exacerbé, d'un bucolisme candide et de réminicences obsessionnelles.

Véritable plaidoyer contre les attaques dont il se prétend la perpétuelle vicime, ces promenades comportent également une interrogation de vaste portée sur les rouages du destin et les fondements divins de l'existence.  Le monologue intérieur de Rousseau élabore une véritable "métaphysique" de la pensée.