C'était un marais puant, avec des arbres morts pour rappeller qu'autre chose avait déja existé, qu'un autre monde, auparant possible était désormais interdit. Aucune plainte n'y croissait: la moindre pouss aurait d'ailleurs été écrasée par des piedsverruqueux. Elle ignorait si le ciel était en rochers ou en béton. Les damnées étaient livrés à eux-mêmes, à leurs instincts, à leurs horreurs internes...
Balises: poche